Tout savoir sur l'hygiène de ma chatterie Maine Coon

Parce qu'un environnement sain est le premier des vaccins : découvre la rigueur invisible qui protège mes chats au quotidien.
Voir les chatonsNous contacter

Tinysilvercat

Venez nous rejoindre

L’hygiène d’une chatterie Maine Coon : Entre rigueur sanitaire et vie de famille

Quand on évoque l’hygiène en chatterie Maine Coon, on imagine souvent des box froids, du carrelage blanc jusqu’au plafond et une forte odeur de désinfectant. Efface cette image clinique. Ici, tu entres dans un tout autre univers : une vraie maison de 300 m² où mes chats partagent mon quotidien, mon canapé et même ma chambre.

Pourtant, la propreté est ici une religion. Pourquoi ? Parce que gérer l’hygiène d’un élevage félin ne consiste pas à tout stériliser aveuglément, mais à créer une barrière de sécurité invisible. C’est trouver l’équilibre parfait pour qu’un chat reste un être vivant heureux, tout en évoluant dans un écosystème sain qui protège sa santé.

Après 12 ans d’expérience, j’ai transformé le ménage en une expertise au service du bien-être :

  • Les naissances se font dans l’intimité de ma chambre, sous haute surveillance.
  • L’éveil se passe dans une nurserie dédiée de 50 m², pensée pour être facile à désinfecter sans être froide.
  • La vie s’épanouit dans toute la maison, grâce à des matériaux nobles et des technologies de pointe (vapeur sèche, purification de l’air).

Bienvenue dans les coulisses de TinySilvercat, où chaque geste de nettoyage est un acte de soin envers ton futur chaton.

En bref, quels sont les secrets de nôtre élevage Maine coon ?

Tu veux tout savoir sur l’équipe, la philosophie et l’organisation de notre élevage Maine Coon sans perdre une minute ?
Retrouve ici les points essentiels, nos engagements et l’esprit TinySilverCat.
Et si tu veux aller plus loin : podcast, timeline et transcription abrégée t’attendent à la fin de la page !

Plonge dans la vie de la chatterie

par Christophe ( Tinysilvercat )

🎙️ Transcription abrégée (Au cœur de la chatterie Maine Coon)

Bienvenue dans la vraie vie de la chatterie TinySilverCat.
Ici, tu découvres ce qui se cache derrière l’organisation d’un élevage pro :
la gestion quotidienne, la sélection, le suivi santé, et tout ce qui rend nos Maine Coons vraiment uniques.

On parle routines, biosécurité, câlins, génétique — sans détour et sans blabla marketing.
Chez nous, chaque chat a sa place, chaque décision est réfléchie pour assurer leur stabilité et ton bonheur, si tu accueilles un de nos bébés.

Prends le temps d’écouter, tu verras que l’élevage, c’est beaucoup plus qu’une passion : c’est un engagement, une vraie équipe… et des chats qui rendent fiers tous ceux qui vivent la chatterie au quotidien.

Comment vivent mes Maine Coon dans la maison au quotidien ?

Tu ne peux pas parler d’hygiène de chatterie si tu ne sais pas d’abord comment les chats vivent concrètement dans la maison. Avant les produits, la vapeur ou les litières, tout commence par l’organisation des pièces: où naissent les chatons, où ils grandissent, et comment ils découvrent progressivement une maison de 300 m².

Une chatterie propre, ce n’est pas une pièce stérile: c’est une maison organisée où chaque étape de la vie d’un chaton a sa place, et donc son propre ménage.

Où naissent les chatons et pourquoi je commence par notre chambre ?

Anecdote: presque toutes mes nuits de naissances se passent dans cette même chambre. Tu entends les petits bruits des bébés qui tètent, le ronron de la maman, et en même temps l’aspirateur qu’on passe le matin, la télévision le soir, la musique qui tourne parfois un peu trop fort. Les chatons naissent là, au milieu d’une vraie vie de famille, mais dans un espace que je peux vraiment garder sous contrôle.

  • Toutes les portées naissent dans notre chambre, près de nous, pour que je puisse surveiller la mise bas et les premiers jours sans courir partout.
  • Les bébés s’habituent tout de suite aux bruits d’une maison: voix, aspirateur, télé, musique, portes qui claquent.
  • La maman peut sortir du nid, venir chercher de la chaleur humaine, des câlins, un coin de lit pour souffler quelques minutes loin des petits.
  • La chambre reste une pièce simple à aérer, ranger et nettoyer en profondeur entre deux portées, ce qui est essentiel quand tu enchaînes les maternités.

Pourquoi je passe ensuite par une grande nurserie de 50 m² ?

Quand les chatons commencent à marcher, grimper et tout explorer, notre chambre devient trop petite et surtout trop risquée pour eux comme pour le matériel qui s’y trouve. C’est là qu’entre en jeu une grande pièce de 50 m² que j’ai transformée en vraie nurserie pensée pour des Maine Coon en devenir.

  • La nurserie regroupe trois espaces aménagés: zones pour grimper, se cacher, jouer, se reposer, avec arbres à chats, jouets et dodos adaptés.
  • C’est une pièce très éclairée, où je peux voir d’un coup d’œil ce que font les chatons, comment ils utilisent les litières et où ils dorment.
  • Je ne les laisse pas libres dans la chambre: entre les câbles, les consoles, la télé, les meubles, tu aurais vite deux petites machines à bêtises pas encore propres partout.
  • La rotation des femelles impose que la chambre redevienne régulièrement une maternité propre, prête pour la prochaine maman, ce qui n’est possible que si les chatons passent en nurserie à temps.

Comment ils découvrent ensuite le reste de la maison sans mettre l’hygiène en vrac ?

Une fois qu’ils sont à l’aise en nurserie, qu’ils utilisent correctement leurs litières et qu’ils ont un minimum de cadre, les chatons commencent à découvrir le reste de la maison. On parle d’environ 300 m², ce qui change complètement la façon dont tu peux garder une chatterie propre sans sentir le chat dès la porte d’entrée.

  • Derrière TinySilverCat, il y a une famille, des souvenirs, et une promesse faite à nos enfants.
  • Il y a un choix assumé : faire vivre l’émotion du Maine Coon et donner un sens authentique à l’élevage.
  • Il y a des lieux, des rencontres, des portées, des anecdotes qui tissent le fil de notre histoire.

Comment je garantis un environnement sain pour ton futur chaton au quotidien ?

Tu peux avoir les meilleurs produits du monde, si tu ne sais pas quoi nettoyer, quand, et dans quel ordre, ça ne sert à rien. Dans ma maison, je pars d’un principe simple : chaque pièce a son propre rythme biologique. Mon nettoyage suit toujours une logique immuable, celle des milieux hospitaliers adaptée à la vie de famille : d’abord nettoyer, ensuite désinfecter.

Ma règle d’or : « Un bon désinfectant ne remplace jamais un bon ménage. On désinfecte une surface propre, on n’enfouit pas la saleté sous une odeur de parfum. Si ça sent le « muguet chimique », c’est souvent que le ménage est mal fait. »

1er. Mon rituel : Ce que je fais pour eux, jour après jour

Gérer une maison de 300 m² avec des Maine Coons demande une discipline militaire, mais appliquée avec douceur.

  • Tous les jours : La base saine Je ne laisse aucune chance aux bactéries. J’aspire et je lave les sols des pièces de vie, de ma chambre et de la nurserie pour éliminer poils et poussières. Les surfaces de contact (poignées, tables) sont traitées, et les gamelles en inox passent à l’évier ou au lave-vaisselle à haute température. Quant aux litières, c’est le nerf de la guerre : elles sont vérifiées et nettoyées plusieurs fois par jour.
  • Chaque semaine : La chasse à l’invisible C’est le moment du « grand bain » pour les textiles. Plaids, dodos, coussins… tout ce qui touche tes futurs chatons passe en machine. C’est crucial pour éliminer la « crasse invisible » (squames, poussières) que l’œil ne voit pas mais que les poumons sentent. J’aspire aussi le sisal des arbres à chat et je désinfecte les plateformes en hauteur.
  • Ponctuellement : Le « Vide Sanitaire » Entre deux portées, ou lors d’un grand nettoyage de printemps, je pratique ce qu’on appelle un vide sanitaire. Je vide une pièce, je lessive tout du sol au plafond, je rince, je désinfecte et je laisse sécher. C’est le bouton « Reset » de la maison pour repartir sur une base vierge.

2ème. Mes armes secrètes : Produits pros et technologies douces

Oublie les produits ménagers de supermarché qui ne font que masquer les odeurs. J’utilise des outils pensés pour les milieux professionnels, car la sécurité de tes chatons ne tolère pas l’amateurisme.

🧪 Le duo Détergent & Désinfectant (Type Saniterpen) Je ne joue pas à l’apprenti chimiste. J’utilise des produits homologués pour l’élevage (bactéricides, fongicides, virucides). Mais attention, je les utilise intelligemment :

  1. D’abord, je nettoie pour enlever la matière organique.
  2. Ensuite, je rince.
  3. Enfin, je désinfecte sur le propre, en respectant scrupuleusement les doses pour ne pas irriter les voies respiratoires fragiles des chatons.

💨 La Vapeur Sèche : La puissance sans la chimie C’est mon alliée la plus précieuse. J’utilise un nettoyeur vapeur haute température (vapeur sèche). Pourquoi ? Parce que la chaleur tue les germes et décolle la saleté incrustée dans les tissus ou les recoins des arbres à chat, sans aucun produit chimique. C’est la solution idéale pour assainir l’environnement des chatons sans agresser leur système immunitaire.

🛡️ L’Inox et l’Aluminium : Le choix des matériaux Si tu visites ma cuisine ou la nurserie, tu verras beaucoup d’inox. Ce n’est pas un choix esthétique, c’est un choix sanitaire. Contrairement au plastique qui se raye et devient un nid à bactéries, l’inox et l’alu sont lisses, non poreux et se désinfectent parfaitement. C’est le standard des cuisines pro, et c’est le standard que j’exige pour mes chats.

Pourquoi je privilégie la simplicité pour leurs repas et leur litière ?

Si tu veux comprendre l’hygiène réelle d’un élevage, il faut regarder là où ça vit vraiment : les zones de repas et de propreté. C’est ici que l’on voit la différence entre un fantasme de laboratoire stérile et une vraie maison bien tenue où cohabitent plusieurs Maine Coons.

Mon choix est clair : je préfère du matériel simple, sain et nettoyé irréprochablement chaque jour, plutôt que des gadgets complexes qui masquent la réalité.

Ma philosophie est simple : « Je préfère des gamelles et des bacs basiques, récurés tous les matins à l’huile de coude, plutôt qu’un décor de science-fiction qui te promet « zéro microbe » dans une maison pleine de chats. L’hygiène, c’est de l’action, pas de la décoration. »

1. Les repas : La convivialité en toute sécurité

Chez moi, tu ne verras pas de batterie de distributeurs automatiques en plastique. Mes chats mangent dans des gamelles en Inox partagées et boivent à des points d’eau communs.

  • Pourquoi partager ? Mes chats vivent en groupe, dorment ensemble et passent leur temps à se toiletter mutuellement, échangeant déjà leur salive et leur flore microbienne par le jeu. Vouloir les isoler pour le repas alors qu’ils partagent tout le reste de la journée n’aurait pas de sens biologique.
  • Le choix des matériaux : Je bannis le plastique qui se raye et devient un nid à bactéries. J’utilise exclusivement de l’Inox ou de la céramique, des matériaux lisses et non poreux recommandés par les services vétérinaires pour leur facilité de désinfection.
  • Mon rituel quotidien : Chaque matin, toutes les gamelles sont ramassées. Elles sont lavées, puis désinfectées avec un détergent-désinfectant homologué comme le Saniterpen (le même que j’utilise pour les sols), avant d’être soigneusement rincées et séchées. C’est cette routine stricte qui garantit la propreté, pas la technologie.

2. La litière : Le naturel avant le marketing

Pour les bacs, je fuis les litières « miracles » ultra-parfumées. Je reste fidèle au Pellet de bois (granulés de chauffage), et c’est un choix réfléchi pour la sécurité de tes futurs chatons.

  • Zéro risque d’ingestion : Contrairement aux litières agglomérantes à base de Bentonite (argile) qui peuvent provoquer des occlusions intestinales si un chaton curieux les avale, le pellet de bois est sûr. Je n’ai jamais vu un chaton essayer d’en manger.
  • Pas de « cache-misère » chimique : Je refuse les litières avec parfums de synthèse qui masquent les odeurs. Le pellet est 100% naturel, sans additifs douteux. Il absorbe l’urine en se transformant en sciure, ce qui rend le nettoyage très lisible : on voit tout de suite ce qu’il faut enlever.
  • L’hygiène par l’action : Le secret n’est pas dans le sac de litière, mais dans l’entretien du bac. Je retire les zones souillées plusieurs fois par jour et je désinfecte les bacs vides régulièrement avec un Virucide adapté. C’est le travail humain qui assure une maison saine, pas les promesses marketing.

L’air et les odeurs : Comment je chasse l’invisible pour protéger leurs poumons ?

Un Maine Coon et son éleveur dans la chatterie TinySilverCat, cadrage vertical optimisé pour smartphone, incarnant les valeurs de l’élevage

Avec plusieurs Maine Coons à la maison, l’air se charge très vite en poils, en humidité et en petites particules invisibles. Si on laisse faire, on se retrouve avec des pièces « lourdes » et une odeur persistante. Mon objectif n’est pas de masquer cela avec des bougies parfumées, mais de renouveler et d’assainir l’air en permanence.

Ce qu’il faut retenir : « L’hygiène, ce n’est pas seulement ce que tu passes sur le sol. C’est aussi l’air que tu respires avec tes chats, tous les jours. Un air sain ne sent pas la « rose artificielle », il ne sent rien. C’est ça, le vrai propre. »

Pourquoi je ne rigole pas avec la qualité de l’air ?

Dans une chatterie, les ennemis sont invisibles : squames, allergènes en suspension et humidité liée à la respiration.

  • Protéger les voies respiratoires : Les particules issues de la litière ou les squames peuvent irriter les poumons sensibles des chatons.
  • Éviter les moisissures : Un taux d’humidité trop élevé favorise les bactéries et les moisissures, sources d’allergies pour les animaux comme pour nous.
  • La vérité sur les odeurs : Une odeur tenace d’urine ou de litière n’est pas une fatalité, c’est le signe d’un air qui ne circule pas et d’une accumulation organique.

Ma stratégie en trois actions : Aérer, Filtrer, Assécher

Pour garantir un air pur sans asperger la maison de produits chimiques, je combine trois méthodes complémentaires :

  • L’Aération quotidienne (Le bon sens) : C’est la base absolue. J’ouvre les fenêtres chaque jour pour évacuer les polluants concentrés et renouveler l’oxygène. Cela permet de faire sortir l’humidité et les odeurs avant même d’allumer une machine.
  • La Filtration HEPA + Charbon Actif (La technologie) : Dans les pièces clés (nurserie de 50 m², salon), j’utilise des Purificateurs d’air dimensionnés spécifiquement pour la surface de la pièce. J’ai choisi des modèles combinant deux technologies indispensables :
    1. Le Filtre HEPA : Il capture les particules fines en suspension (squames, poussières) responsables des allergies.
    2. Le Charbon Actif : Il absorbe les odeurs et les composés volatils (l’odeur de « chat ») au lieu de les masquer.
  • La Déshumidification (Le contrôle du climat) : Le Maine Coon dégage de la chaleur et de l’humidité en respirant. Pendant les périodes pluvieuses, j’utilise des Déshumidificateurs pour maintenir un taux d’hygrométrie sain. Le but n’est pas d’assécher l’air, mais d’éviter l’ambiance tropicale qui plaît tant aux bactéries.

Couchages et textiles : Pourquoi je les change aussi souvent que mes propres draps ?

Si tu veux comprendre l’hygiène réelle d’un élevage, il faut regarder là où ça vit vraiment : les zones de repas et de propreté. C’est ici que l’on voit la différence entre un fantasme de laboratoire stérile et une vraie maison bien tenue où cohabitent plusieurs Maine Coons.

Mon choix est clair : je préfère du matériel simple, sain et nettoyé irréprochablement chaque jour, plutôt que des gadgets complexes qui masquent la réalité.

Ma vision est simple : « Changer les couchages de mes Maine Coons, je le vois exactement comme changer mes propres draps : ce n’est pas un luxe, c’est le minimum vital pour que tout le monde dorme dans un environnement sain. »

Christophe à genoux, mains sur le visage, devant des chatons morts et une mère Maine Coon avec ses petits survivants

La règle de la "Rotation" : Toujours un propre d'avance

Mon secret ne réside pas dans le panier lui-même, mais dans mes armoires remplies de stocks de rechange. Cela me permet d’appliquer une discipline stricte :

  • Zéro attente : Dès qu’un couchage est souillé ou douteux, je le retire et je le remplace immédiatement.
  • Zéro humidité : Je ne laisse jamais un chat dormir sur un tissu humide en attendant que sa couverture sèche.
  • Adaptation au trafic : Les zones très fréquentées (comme la nurserie) sont changées bien plus souvent que les coins calmes pour éviter que la saleté ne s’installe.
Jeune fille dessinant avec un Maine Coon allongé près d’elle, moment de complicité à la chatterie TinySilverCat

La chasse à la "crasse invisible" en machine

Même quand un coussin a l’air propre, il retient ce que les chats ramènent sous leurs pattes (litière) et le sébum de leur pelage. L’aspirateur ne suffit pas. Mon exigence est donc simple :

  • Je n’achète que des textiles déhoussables et résistants.
  • Ils passent très régulièrement en machine pour un lavage en profondeur.
  • C’est la seule méthode pour éliminer les odeurs incrustées et les résidus invisibles.
Poignée de main chaleureuse entre deux éleveurs de Maine Coon lors d’une rencontre à la chatterie TinySilverCat

Les "Inamovibles" : La vapeur sèche à la rescousse

Tout ne rentre pas dans le tambour de la machine (grand canapé, structures des arbres à chat). Pour eux, j’utilise la Vapeur Sèche.

C’est un nettoyage haute température qui offre trois avantages majeurs :

  • Assainir sans chimie en pénétrant au cœur des fibres.
  • Tuer les acariens et bactéries par la chaleur.
  • Décoller les salissures là où je ne peux pas démonter le tissu.

De plus, mes dodos sont toujours posés sur ou à côté de surfaces dures (bois verni, inox, carrelage). Cela évite de créer des « poches de saleté » inaccessibles et facilite le nettoyage autour des zones de repos.

Comment se passe une visite tout en protégeant leur santé ?

Quand tu viens à la chatterie, tu ne rentres pas dans une animalerie aseptisée, tu rentres dans une maison vivante où cohabitent des adultes et des chatons au système immunitaire parfois immature. Mon objectif est double : te permettre de voir leur vrai caractère dans leur environnement réel, tout en garantissant qu’aucun microbe extérieur ne vienne perturber cet équilibre fragile.

Une visite, c’est un privilège : « Je t’ouvre ma porte pour te montrer notre quotidien, pas pour transformer la maison en hall de gare. Une visite se prépare et se respecte : tu n’entres pas dans un magasin, tu entres dans une maternité. »

Ce que je te demande (Le protocole d’entrée)

Je ne peux pas t’accueillir sans précautions. Sans le savoir, tu transportes des poussières, des virus ou des œufs de parasites sur tes chaussures et tes vêtements. Pour que ta venue reste un plaisir sans risque, voici les règles simples du jeu :

  • Pas d’animaux accompagnants : C’est la règle d’or. Même si ton chien est adorable ou ton chat vacciné, ils restent à la maison. C’est le seul moyen d’éviter les échanges de parasites ou de virus entre foyers.
  • L’hygiène des mains : À ton arrivée, et avant d’entrer dans les pièces sensibles, je te demanderai de te laver les mains ou d’utiliser une solution hydroalcoolique. C’est la barrière la plus efficace pour ne pas déposer de germes sur les poignées ou les jouets.
  • Les « Zones Réservées » : Tu ne verras pas tout. L’accès à la Maternité ou à certaines nurseries est restreint. Ce n’est pas pour te cacher des choses, mais pour protéger les très jeunes chatons du stress et des microbes extérieurs. On ne dérange pas des nouveaux-nés.
  • La gestion des affaires : Je te demanderai de ne pas poser ton sac à main ou tes affaires personnelles au sol, car c’est là que mes chats vivent et se frottent. Tout ce qui vient de la rue reste en hauteur ou à l’entrée.

Ce que je fais après ton départ (Le protocole de sortie)

Une fois la porte refermée, mon travail n’est pas fini. Même si tu as été très prudent, le simple passage humain a modifié l’environnement microbien de la pièce.

  • Le traçage du ménage : Je refais un passage ciblé dans toutes les zones que tu as traversées. Je nettoie les sols, les poignées de porte et les surfaces de contact pour effacer toute trace de l’extérieur.
  • La désinfection de sécurité : Selon les pièces visitées (notamment si nous sommes passés près des jeunes), j’utilise un nettoyant bactéricide et virucide spécifique aux locaux d’élevage (type Saniterpen) pour remettre les compteurs à zéro.

(Pour tout savoir sur ma gestion des virus et mes protocoles médicaux complets, je t’invite à consulter la page dédiée « Politique Sanitaire »).

Ça, c’est TinySilverCat :

Pas un élevage « d’images ». Un programme réfléchi, documenté, basé sur des tests, des choix assumés et des nuits blanches. Tu trouveras pas de discours flou ou de façade Instagram ici. Tu trouveras des faits, des retours d’expérience, des méthodes, et le vrai coût émotionnel derrière chaque portée.

Tout ce que j’aurais voulu lire avant de commencer, je le partage ici. Parce que la transparence, c’est aussi ça, élever.

FAQ : Les questions (honnêtes) sur l’hygiène

Si tu es arrivé jusqu’ici, c’est que tu as compris que l’hygiène est mon obsession. Mais concrètement, comment ça se traduit quand tu passes la porte ? Voici les réponses aux interrogations les plus fréquentes des familles qui visitent la chatterie.

Est-ce que ça sent le "chat" quand on entre chez toi ?

Mon objectif est justement que tu oublies que tu es dans un élevage. Si l’hygiène est bien faite, une maison ne doit pas sentir le « fauve », ni le désinfectant chimique à outrance. C’est le résultat de tout ce que je t’ai expliqué plus haut : l’entretien obsessionnel des litières, la rotation des textiles et la gestion de l’air (purificateurs). Ici, l’odeur visée est celle de la neutralité.

À quelle fréquence nettoies tu les litières ?

Je ne laisse jamais « pour plus tard ». Les parties souillées sont retirées plusieurs fois par jour, dès que nécessaire. Les bacs sont régulièrement vidés intégralement, désinfectés et remplis de pellet propre. C’est le seul secret pour garder des litières lisibles et saines, pour moi comme pour les chats.

Pourquoi n'utilises-tu pas de litière parfumée "zéro odeur" ?

Parce que je préfère nettoyer que masquer. Les parfums de synthèse peuvent irriter les voies respiratoires sensibles des chats et ne servent qu’à cacher la misère. Je privilégie le pellet de bois naturel : il est sain, peu poussiéreux et m’oblige à être rigoureuse. Si ça ne sent rien, c’est parce que c’est propre, pas parce que c’est parfumé.

Pourquoi tes chats n'ont-ils pas chacun leur gamelle ?

Dans un groupe social soudé, les chats partagent déjà tout : ils dorment en tas, se toilettent mutuellement et échangent leur flore microbienne en permanence. Avoir des gamelles individuelles serait un non-sens biologique (sauf régime médical strict). Je préfère des gamelles communes en inox, mais lavées et désinfectées chaque matin, ce qui garantit une hygiène parfaite pour un groupe en bonne santé.

Pourquoi ne puis-je pas visiter toutes les pièces (maternité) ?

Ce n’est pas pour te cacher des choses, mais pour protéger les plus fragiles. Les zones comme la maternité ou les nurseries abritent des chatons au système immunitaire immature ou des mamans qui ont besoin de calme absolu. Ouvrir ces portes à chaque visite multiplierait le bruit et les microbes extérieurs. Je te montre les espaces de vie où les chats peuvent profiter de toi en toute sécurité, tout en préservant la bulle des tout-petits.

Tu veux découvrir nos chatons Maine Coon disponibles ?

 

Curieux de voir quels Maine Coons sont prêts pour une nouvelle aventure ?
Retrouve ici tous nos chatons disponibles, chacun avec sa fiche, ses infos, et quelques photos pour te projeter.
Le carrousel te donne un aperçu rapide, le bouton te permet d’en savoir plus ou de passer à l’action.

Skotty TinySilverCat, mâle Maine Coon silver pâle de 4 mois, forte ossature et profil marquéUsia TinySilverCat, femelle Maine Coon black silver mackerel tortie de 2 mois — profil et longues oreilles touffuesDeux chatonnes nouveau-nées dans les mains, yeux à peine ouverts — promesse de futures lignées TinySilverCatUn éleveur de Maine Coon sérieux naviguant sur l'ordinateur et analysant le pedigree d'un chat sur le site PawPets, garantissant la traçabilité de la lignée.Un éleveur de Maine Coon sérieux analysant les résultats d'une échographie cardiaque (HCM) et rénale (PKD), une étape clé de notre protocole de santé.Un homme avec un maine coon chez le vétérinaire, prêt pour des tests infectieux comme FIV, FeLV et Mycoplasma, prouvant le protocole de santé de l'élevage.Podcast santé et biosécurité de l'élevage Maine Coon TinySilverCat.Pochette officielle du Podcast TinySilverCat - Plonge au cœur de notre élevage Maine Coon.Portrait de Christophe Badeux, éleveur professionnel de Maine Coon, fondateur de TinySilverCat, spécialiste du silver et du shaded.Logo de la chatterie Tinysilvercat : illustration stylisée d’un Maine Coon majestueux à la longue fourrure, regard vert, avec l’inscription « Tinysilvercat Cattery », spécialiste de l’élevage familial de Maine Coon pour la France et l’international.

Nos Engagements & Réglementation

Notre élevage est déclaré et respecte la réglementation. Tous nos chatons sont inscrits au LOP et partent avec un passeport Européen officiel.

Un dernier mot de l’équipe : L’hygiène n’est pas une option, c’est ma promesse.

Tu l’auras compris, chez TinySilvercat, le ménage n’est pas une corvée domestique, c’est le premier pilier de la santé de ton futur compagnon. Tout ce temps passé à frotter, laver, aérer et désinfecter n’a qu’un seul but : te confier un chaton sain, bien dans ses pattes et prêt à rejoindre ta famille sans bagage parasitaire ou viral.

Si cette rigueur te rassure et que tu partages cette vision exigeante du bien-être animal, alors nous sommes faits pour nous entendre.

320px

Christophe Badeux

Éleveur professionnel de Maine Coon | Fondateur de TinySilverCat, dédié à la France francophone.

Élever n’est pas produire, c’est transmettre.

loading
320px

Christophe Badeux

Éleveur professionnel de Maine Coon | Fondateur de TinySilverCat, dédié à la France francophone.

Élever n’est pas produire, c’est transmettre.

loading